Alain Kiyindou
Alain Kiyindou – Professeur à l’Université de Bordeaux

Chères lectrices, chers lecteurs,

On entend souvent parler d’intelligence artificielle dans de nombreux domaines: robotique, véhicules autonomes, logistique, industrie, reconnaissance vocale, assistants virtuels…les champs d’applications sont très larges. Si les Français ont une idée globale de ce qu’elle peut être, cette vidéo va permettre à bon nombre d’entre vous d’en avoir une meilleure approche et meilleure définition. Elle est réalisée par Alain Kiyindiou, Professeur à l’Université de Bordeaux.

L’intelligence artificielle: une simulation de l’intelligence humaine

Si a la base, il n’y avait que les sciences “pures ” qui s’intéressaient à l’intelligence artificielle, les sciences de l’information et de la communication s’y intéressent aujourd’hui de beaucoup plus près. Des domaines comme la traduction s’y intéresse aujourd’hui, car dans ce domaine, un grand nombre d’informations sont à traiter et à convertir.

Les enjeux de l’intelligence artificielle sont énormes: enjeux politiques, économiques…Google commence par exemple à développer des centres d’intelligence artificielle. Entre machine learning et deep learning, demain l’intelligence artificielle sera partout dans notre quotidien.

Reste à savoir comment la protection de nos données personnelles sera prise en compte, dans une technologie aussi évoluée. L’alliance “Chaire” de l’Unesco devra permettre de défendre les idéaux de l’Unesco, et de travailler pour l’accomplissement des objectifs de l’institution internationale.

Cette alliance interpays entre la France et les pays de l’Afrique permet des tests et un développement commun au niveau de ces nouvelles technologies, et de voir comment elles peuvent s’intégrer avec souplesse dans les populations qui n’y sont pas encore habituées.

Demain, une meilleure utilisation de celles-ci et de l’intelligence artificielle permettra d’obtenir un apport considérable dans des thématiques comme la santé, ou la recherche dans les maladies rares, notamment dans les pays défavorisés, ou le numérique a encore du retard à rattraper, notamment comme l’Afrique.

Reste à savoir quel temps sera nécessaire pour ce continent rattrape son retard la matière

Yvan Dupuy