[Vidéo]: Larry Page (Google) teste des taxis volants en Nouvelle Zélande

Chères lectrices, chers lecteurs,

Soutenues par le co-fondateur de Google, deux start-ups testent actuellement leur prototype de taxis volant en  Nouvelle Zélande. Ces dernières se nomment Kitty Hawk et Zephyr Airworks (anciennement Zee Aero).

Un prototype nommé Cora

Le prototype de taxi volant développé par les deux start-ups se nomme Cora. Il s’agit d’un hybride entre un avion et un hélicoptère capable de se poser et décoller verticalement de n’importe quel lieu.

Cora peut embarquer deux passagers et voler à une hauteur comprise entre 150 et 900 mètres d’altitude. Avec une autonomie de 100 kilomètres, il peut évoluer à une vitesse de 180 km/heure.

 

A la question pourquoi la Nouvelle Zélande, Google évoque un « pays où le système de régulation fait la part belle à l’innovation ».

Un propos confirmé par la premier ministre Jacinda Ardern qui a déclaré que son pays souhaitait « envoyer le message au monde que [leurs] portes sont ouvertes aux personnes ayant de grandes idées et qui veulent les concrétiser ».

Historiquement, son développement a commencé en 2010. Il a, jusqu’à présent, été plus ou mois mis sous silence par la société, probablement pour des raisons de confidentialité. Il ne s’agit pas d’une voiture volante, mais bel et bien d’un aéronef à décollage et atterrissage vertical.

En terme de performance, il est capable de voler jusqu’à 915 mètres d’altitude, sur une distance de 100km, et avec une vitesse maximale de 180 km/h. L’ensemble est supervisé par trois ordinateurs qui gèrent le système, et sont capables de fonctionner de manière indépendante.

Des vols supervisés par des opérateurs

Pour plus de sécurité, les vols sont supervisés par des opérateurs humains qui se trouvent au sol. Dans un premier temps, ils ne seront pas vendus à des particuliers, mais uniquement à des professionnels (sociétés de service).

Pour l’heure aucune date, ni prix n’a été communiqué par l’entreprise. Toutefois, Kitty Hawks a passé un accord avec le gouvernement Néo-Zélandais, ainsi que l’entreprise Zephyr Airworks, pour que cet engin soit prochainement déployé dans le pays.

Yvan Dupuy