Chères lectrices, chers lecteurs,
A mi parcours de l’année 2011, on peut tirer le constat d’une année animée du coté des réseaux sociaux. Parmi les faits majeurs, il y a bien sûr l’arrivée de Google+. Toujours en phase de tests actuellement, il est censé réparé les différents flops de google sur les tentatives d’approche sociale (Google Wave, Google Buzz). IL est encore trop tôt pour dire si ce réseau sera un réel succès, comparé à l’hégémonie de Facebook.
Parmi les grands faits, notons aussi l’annonce Dmitry Shapiro sur son projet du réseau Altly. En outre, ce premier semestre 2011 est également marqué par l’annonce par Facebook et Baïdu d’un réseau social commun. Je n’ai, à l’heure actuelle pas d’informations sur l’évolution de ce projet ambitieux.
Et puis, il y a aussi les communautés par affinité qui ont aussi pris leur envol , comme Capseo (communauté des référenceurs & webmarketeurs) qui a ouvert une branche aux Etats-Unis. Aujourd’hui, Envimotion s’annonce comme le premier réseau social destiné à tous les acteurs du développement durable. Zoom sur ce modèle écolo.
Envimotion: rassembler des acteurs du secteur
Une présentation “verdurée” avec un slogan clairement annoncé: “le réseau social des acteurs du développement durable”. Un réseau qui souhaite regrouper aussi les bien les professionnels du secteurs, que les particuliers ou les organisations liées à a défense de l’environnement.Envimotion est le fruit de Mathieu Waltzer. Encore en version béta actuellement, une version anglaise devrait voir le jour dans les mois a venir (a mon goût cette venue de la version US est trop précoce sans connaître même le succès du site).
Mathieu Waltzer se veut toutefois rassurant, puisque plus de 400 entreprises auraient déjà rejoint le réseau social.
Des synergies, et des économies
Mettre en contact les professionnels entre eux (démarche B to B), ou aider les particuliers à trouver des professionnels (B to C), le principe sera avant tout centré sur l’effet synergie et partage de connaissances. Quoi de plus passionnant quant on peut partager sur un même réseau avec des gens ayant les mêmes centre d’intérêt ?
Concernant le principe de fonctionnement même du réseau Envimotion, Mathieu Waltzer a souligné le fait qu’il incitait ses utilisateurs à stocker le moins de photos possibles (plus de serveurs de stockage égal plus de pollution). Ca me rappelle d’ailleurs la toute récente annonce de Mark Zuckerberg sur la mise en place de ses serveurs écolo (voir mon article).
Si les réseaux sociaux semblent prendre conscience des valeurs environnementales, peut-on réellement considérer des retombées positives de réseaux comme Envimotion ?
Personnellement, je pense que le concept est très intéressant quant aux nouvelles méthodes disponibles sur le marché et les partages de connaissance en la matière.
Et vous, rejoindriez-vous cette communauté ?
Amicalement,
Yvan Dupuy
Intéressant comme concept mais il serait plus juste de rapprocher ce réseau à d’autres réseaux plutôt professionnels tels que LinkedIn ou Viadeo non ?
A voir donc à l’usage, si ça pouvait développer d’avantage le domaine du développement durable qui n’est encore pas assez ancré dans nos habitudes.
Très bon article, merci 😉
Bonjour Fabien,
Comme vous le dîtes, envimotion s’adresse aussi bien aux particuliers qui veulent échanger entre eux (il y a d’ailleurs un forum), qu’aux professionnels pour des échanges de pro à pro, ou bien encore de professionnels à particulier. On peut donc le considérer comme un réseau semi-professionnel, effectivement. Le concept me semble très bon également 🙂