Chères lectrices, chers lecteurs,
La start-up Stuart décide de connecter les coursiers locaux aux commerçants, et aux e-commercants en zone urbaine. Elle a développé une application dotée d’un algorithme de calcul des parcours, pour une livraison en moins de 30 minutes.
Une start-up chcouchoutée par ses mécènes
De nombreuses Business Angels se sont penchées sur la start-up Stuart dès sa naissance en 2015. Jacques-Antoine Granjon, de Vente-privée.com, Jean-David Blanc d’Allo Ciné ou, encore, Olivier Mathiot de PriceMinister-Rakuten ont investi dans la start-up, croyant dans son potentiel.
Parmi les partenaires, citons aussi la filiale de poste “Geopost” qui a investi dans Stuart, avec un montant de 10 millions d’euros. Un financement qui a permis à l’entreprise de développer une plateforme technologique de mise en relation pointue intégrant un algorithme d’optimisation de la livraison et un suivi des colis en temps réel.
L’application développée par Stuart calcule les itinéraires optimum pour les livreurs, intégrant des facteurs comme la météo.
Pingki Houang, directeur général France de Stuart déclare au sujet de celle-ci:“Dans la capitale française, à un instant T, 500 coursiers sont connectés et réalisent une course”.
Exigeante, la start-up exerce un gros tri en amont. Sur 100 candidats, elle n’en retient et forme que 25.
Stuart compte aujourd’hui plus de 900 clients. Et, pour continuer à séduire, elle mise avant tout sur son concept écologique: 80% du transport se fait à vélo/vélo-cargo et 20 % en motorisé (électrique dès 2017).
Yvan Dupuy