L’accélérateur de start-up WeSprint lève 2,9 millions d’euros pour booster une centaine de start-ups dans le sud de la France

Chères lectrices, chers lecteurs,

L’accélérateur de start-ups WeSprint boucle un tour de table s’élevant à 2,9 millions d’euros. Pour ce faire, elle a bénéficié du soutien de la société générale, à hauteur de 1,25 million d’euros, et du fonds French Tech Accélération ,géré par Bpifrance dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir, qui a également injecté 1,2 million d’euros dans WeSPRINT.

Déjà deux ans d’existence pour wesprint

Fondée en 2016 par Patrick Chekib et Arnaud Laurent, WeSprint  a été fondée afin d’accompagner les start-ups du sud de la France. Elle a donc ouvert deux antennes: l’une à Montpellier, l’autre à Toulouse. La prestation d’accompagnement au sein des locaux dure 4 mois, pour passer par la suite sur du conseil.

Un succès, puisque WeSprint détient des participations dans 21 start-ups, avec des noms en portefeuille comme Openflow ou Masmarthome, ou Vaonis.

Arnaud Laurent (ci-dessus): «Nous détenons en moyenne entre 3% et 5% de parts dans nos start-up avec pour objectif d’effecteur une plus-value de cession à terme»

Étendre son périmètre d’actions

La levée de fonds devrait permettre d’étendre son champ d’action, en ouvrant notamment une branche dans une troisième ville:

«Les nouveaux investisseurs vont nous permettre de renforcer notre position de leader en Occitanie et de dupliquer notre modèle dans d’autres villes françaises»

D’ici 2020, WeSprint devrait être capable d’accompagner près de 100 start-ups. Comptant actuellement 14 collaborateurs, de nouveaux recrutements devraient avoir lieu durant cette année.

Elle détient, à l’heure actuelle, pas moins de 21 start-ups portefeuille, et maintient cet objectif ambitieux. Arnaud Laurent, son fondateur déclare au sujet de ses partenaires: « Nous sommes très heureux d’accueillir dans cette belle aventure de nouveaux investisseurs qui vont nous permettre de renforcer notre position de leader en Occitanie et de dupliquer notre modèle dans d’autres villes françaises »

Yvan Dupuy