funbooker chute libre

Chères lectrices, chers lecteurs,

A l’heure actuelle, seulement 10% des réservations de loisirs se font sur internet. A titre comparatif, le segment des hôtels et des voyages atteint un taux de 70%. Un fait qui n’a pas manqué de retenir l’attention de Guénolé Wendling, start-upper originaire du Morbihan. Ce dernier a crée Funbooker, qui emploie déjà 10 salariés, et vise 10 000 activités réservables. Autant dire que le potentiel est énorme pour la jeune pousse.

Une idée née d’un parcours personnel

Guénolé Wendling a « roulé sa bosse » dans des grands noms du domaine de la réservation en ligne, tels que ClicRDV, qu’il a managé, ou bien encore Solocal. L’envie d’entreprendre est ensuite née, et le constat que le segment des loisirs, comme les sorties culturelles, de bien-être ou sportives était sous exploité sur internet a fait tilt.Finalement, peut d’internautes disposaient d’une offre à la hauteur pour satisfaire leurs besoins en la matière.

Afin de fonder Funbooker, une levée de fonds a été effectuée auprès d’entrepreneurs du web, et notamment Guillaume Paoli, l’un des cofondateurs de Aramisauto. Une opération qui a notamment permis cette dernière de lever la somme de 1,3 million d’euros.

« Un marché encore peu digitalisé »

Même si ce marché est énorme, il est constitué de pleins de petites sociétés, spécialisées sur leur segment. Chute libre, l’un des derniers concepts de Funbooker en est l’exemple même, proposant des activités de sauts en parachute.

Ce marché est, en outre, encore peu digitalisé, ce qui laisse une marge de progression importante dans le domaine des réservations en ligne de loisirs. En terme d’autres projets, Funbooker compte se positionner dans le domaine du référencement des sociétés du loisirs. « On commence aussi à avoir un fort bouche-à-oreille et on reçoit des appels spontanés tous les jours de partenaires pour se faire référencer sur le site. » affirme Mr Wendling.

Yvan Dupuy