foodcheri

Chères lectrices, chers lecteurs,

Le groupe spécialiste des services en qualité de vie Sodexo annonce sa prise de participation majoritaire dans la start-up Foodcheri. Cette dernière propose des services de livraisons; notamment la livraison de repas et de plats à domiciles, dans la région Parisienne, mais aussi partout en France.

Une opportunité de développement élargie

Pour Foodchéri, cette opération est l’opportunité d’une croissance plus importante. Julia Vernin, la co-fondatrice, donne son point de vue sur cette opération:

“Le rachat, ça n’était pas une volonté au départ. Mais on s’est rendu compte qu’il était plus facile de mettre en place de réelles synergies, fortes et durables, avec une fusion. C’est simple et clair. Et on a déjà commencé à avancer ensemble.”

Du coté de chez Sodexo, on affiche une volonté d’améliorer son offre autour de quatre piliers principaux:

-La flexibilité

-Le nomadisme

-la simplicité

-l’hyperréactivité

Une occasion pour la jeune pousse de profiter d’une nouvelle force de frappe transmise par le groupe. Julia Vernin déclare sur ce sujet:

“On va consolider notre offre à Paris, élargir la petite couronne en Île-de-France mais aussi lancer deux nouvelles villes françaises en 2018. On a encore beaucoup de travail en France avant de penser à d’autres villes européennes. L’international, c’est pas pour cette année, ça n’est pas le plan”.

Pour 2018, afin de renforcer sa présence sur le marché des livraisons et  plats faits maisons, Food Chéri prévoit en outre une nouvelle cuisine de 2000 mètres carrés (contre 500 à l’heure actuelle), située en région Parisienne. Comptant à l’heure actuelle 70 salariés, De nouveaux recrutements sont également prévus pour répondre à son développement.

Elle restera dirigée par ses confondateurs, avec notamment patrick asdaghi , et conservera également l’ensemble de ses équipes en place. Concernant la position de Sodexo, Julia Vernin déclare:

“L‘objectif de Sodexo est de nous laisser la totale autonomie, de ne pas casser la dynamique ni la manière de travailler de notre startup”

Un partenariat profitable donc aux deux parties.

Yvan Dupuy