wework

Crédits: Open Grid Scheduler / Flickr /

Chères lectrices, chers lecteurs,

L’entreprise Américaine spécialisée dans les bureaux partagés intensifie sa croissance mondiale. Elle souhaite partir à la conquête de l’Asie du Sud-Est et investit à ce titre la somme de 500 millions de dollars.

Répondre à une demande plus importante

Pour répondre à une clientèle toujours plus importante, Wework vise prioritairement les villes de Shanghai, Pékin, ou Hong Kong. Une levée de fonds similaire a été réalisée dans sa filiale chinoise via Hony Capital et SoftBank Group.

On sait qu’une partie des fonds a été investie dans la start-up Spacemob, son pendant Singapourien. Il y a un an déjà, l’entreprise ouvrait un premier bureau en Asie pour tester le marché. Les investisseurs asiatiques ont rapidement été séduit par le concept de l’entreprise. Une confession faite par Christian Lee, le patron de Weework Asie à Bloomberg.

Aujourd’hui, l’entreprise est valorisée à plus de 20 milliards de dollars (17 millions d’euros). Elle a depuis racheté des espaces de coworking dans des villes comme Honk Kong, Pékin ou Shangaï, mais s’attaque désormais à d’autres places fortes économiques de la région, telles Singapour ou Séoul.

La plateforme est cependant confrontée au concurrent local Uwork, qui a elle récoltée la somme de 178 millions de dollars (150 millions d’euros) pour sa filiale Asiatique. Uwork a elle aussi des ambitions colossales, puisqu’elle prévoit d’ouvrir 160 sites, dans 32 villes internationales.

Christian lee confiant

Malgré la concurrence, Christian Lee reste confiant. IL compte en effet contrer Uwork d’une manière efficace, en proposant de son coté l’accès à 163 sites, répartis dans 52 villes mondiales et pas moins de 15 pays. Il reste confiant dans le fait que sa plateforme rete adaptée pour répondre à la demande mondiale.

Yvan Dupuy