Chères lectrices, chers lecteurs,
Avec des formations e-learning pour les langues pour le moins originales (apprentissage à partir de nouvelles réelles, d’évènements et lieux), la start-up Voxy lève 12 millions de dollars pour se lancer sur les marchés émergents.
Le point de vue de Paul Gollash
Paul Gollash, le fondateur de Voxy déclare concernant ces nouvelles ambitions: “plutôt que de fournir aux élèves des formations avec du contenu n’ayant pas forcément de sens, nous mettons à jour tous les jours du contenu crée à partir des dernières informations”.
Avec un service disponible via un abonnement, Voxy vise avant tout les écoles, les associations, mais aussi les particuliers à travers sa plateforme, mais aussi son application.(disponible sur Android et IOS). 116 clients grands comptes ont d’ores et déjà été séduit par son concept. Citons par exemple AT&T, Walmart, Reuters, ou Bosch. Elle a orientée également et principalement ses efforts sur Grundfos, qui est un fabricant de pompes à eau avec plus de 18000 employés, présents dans 80 pays.
Concernant sa concurrence, Monsieur Gollash considère que ces principaux concurrents sont les écoles de langue traditionnelles.On peut notamment penser à des sociétés comme Kaplan et Pearson, qui restent des grands noms dans ce secteur. Ces derniers temps, Pearson a d’ailleurs fait de nombreuses acquisitions dans ce secteurs, avec des noms comme learning Catalytics, ExamDesign, and Schoolnet.
Concernant l’opération financière, les investisseurs historiques ont participé, avec notamment Rethink Education, Contour Venture Partners, Weld North, et GSV Acceleration.
Elle cible principalement l’Europe, l’Asie, l’Amérique latine, et l’Afrique de l’Est.
Lancée en 2010, elle est implantée à New York et possède 50 employés.
Yvan Dupuy