omincanalité

Chères lectrices, chers lecteurs,

Si au départ, l’omnicanalité était un néologisme barbare pour de nombreuses entreprises, cette dernière a fait, depuis 2003 et ses débuts, un long chemin dans la tête des stratèges marketing des entreprises. Une récente étude de LSA/Hipay révèle que, coté consommateurs aussi, ces derniers réclament, pour 71% d’entre eux une harmonisation entre le offline et le online.

Offre en ligne, produits dérivés et click & collect

Pour répondre à cette nouvelle demande, la majorité des marques et enseignes ont travaillées à l’amélioration de leur présence online, avec des sites plus ergonomiqes et optimisés pour les mobiles, mais aussi offline, avec un parcours en magasin de plus en plus agréables, et le développement marketing de produits dérivés, comme les fabrique le site www.lesgrandesimprimeries.com par exemple.

Quant aux modes de livraisons, ils devront, pour 2019, être eux aussi multiples, de la livraison rapide à domicile, au click and collect où les clients passent récupérer leurs commandes préparées en magasins. Pour les consommateurs, ces facteurs sont un socle de fidélisation, chiffres à l’appui. En effet, 69% d’entre eux se disent prêt à changer d’enseignes si ces critères ne sont pas satisfaits.

Une promotion multicanale

SI nous avons principalement parlé de la distribution et et de la livraison, les marques ne devront pas oublier que la promotions devra être elle aussi multicanale. L’achat de publicité en ligne, alliée à la publicité papier sera donc indispensable. Contrairement aux idées reçues, les consommateurs français sont encore assez conservateurs, et 81% des Français plébiscitent encore cette dernière.

Pour répondre aux mieux à ses clients, les marques devront développer leur analyse du comportement des clients en magasin et rester à l’écoute de leurs attentes.

Autre facteur majeur qui sera à prendre en compte pour 2019: l’assouplissement des politiques d’échanges et de remboursements des produits, qui est important pour 53% des personnes sondées. mais, pour les professionnels, cette donne n’est prise en compte que pour 5% d’entre eux, c’est dire le travail qu’il reste à accomplir.

Yvan Dupuy