Google Hire
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Encore un service qui va finir au cimetière Google. Lancé il y a peine deux ans, google ferme son service d’aide au suivi du recrutement, baptisé “Google Hire“. Ce service avait pour but de simplifier le processus de recrutement.

Différents outils proposés pourtant intéressant

Afin d’aider le plus les recruteurs à simplifier leur processus de recrutement, Google a intégré à Hire différents outils tels que la recherche de candidats, la planifications d’entretiens, et la fourniture d’informations en retour sur les recrutements potentiels dans Google Suite G (Recherche / Gmail / Calendrier / Documents, etc.).

Ce service a été conçu principalement pour les petites et moyennes entreprises, avec un prix proposé oscillant entre 200 et 400 dollars, en fonction du nombre de licences dont l’entreprise a besoin.

Historiquement, Hire a vu le jour après le rachat par Google de la société Behop, une entreprise créée par la fondatrice de VMWare, Diane Greene. A l’épouqe, le montant de la transaction pour le rachat de cette société s’élevait à 380 millions de dollars.

Un courrier officiel envoyé aux clients google hire

Certaine dans sa décision de fermer prochainement ce service, Google a envoyé un courrier aux clients. il mentionne notamment:

    Si Hire a réussi, nous concentrons nos ressources sur d’autres produits du portefeuille Google Cloud. Nous sommes profondément reconnaissants à nos clients, ainsi qu’aux défenseurs et défenseurs qui nous ont rejoint et nous ont soutenus tout au long du processus.

La bonne nouvelle pour les clients, c’est que sa fermeture n’est pas immédiate, et que ces derniers pourront continuer à utiliser Hire pour une durée de 1 an. Ainsi, aucune nouvelle fonctionnalité ne sera développé pour ce service.

Google indique qu’elle compte également interrompre le processus de facturation à ses clients, probablement pour le désagrément causé, car beaucoup de sociétés vont devoir se retourner vers d’autres solutions.

Google n’a toutefois par justifié clairement les raisons de cette fermeture, mais on se doute qu’il s’agit d’une question de rentabilité.

Yvan Dupuy

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