Chères lectrices, chers lecteurs,
Dans une note internet, un ingénieur de chez Google avait mentionné que la faible proportion de femmes dans le secteur de la technologie était du à des “différences biologiques”. Selon les médias Américains, ce dernier a été renvoyé lundi pour avoir tenu des propos sexistes.
Une note qui a fait scandale et qui est devenue virale
Ayant fait beaucoup d’émules, ces propos graves n’ont pas manqué d’enflamer les médias. Mais après son renvoi, cet employé pourrait déjà rebondir auprès de Julien Assange, le fondateur de Wikileaks.
On sait qu’il s’agit de James Damore, même si Google n’a pas souhaité faire de commentaires particulier sur son cas en expliquant qu’elle “ne peut commenter les cas individuels d’employés”. Julien Assange à , de son coté, soutenu James Damore, en affirmant que la censure c’est pour les perdants”, et que les “femmes et les hommes méritent le respect”, cela “comprend le fait de ne pas virer ceux qui expriment poliment leurs idées”.
Il tweet aujourd’hui un long article parue sr heavy.com
3/ Good write up. https://t.co/r3BRY2V7OC
— Julian Assange 🔹 (@JulianAssange) August 8, 2017
Cet évènement est également l’opportunité pour Google de rappeller ces bons codes de conduite, qu’elle impose aux salariés. Google souhaite créer “une culture sans harcèlement, intimidations, préjugés et discrimination illégale.
La critique éclate au moment où de nombreuses critiques sont émises envers les entreprises de la Silicon Valley, principalement pour le fait qu’elles n’embauchent pas assez de femmes. Pour illustration, 69% des employés chez google sont des hommes; un taux qui peut monter jusqu’à 80% d’une manière générale dans le secteur technologique.
Les luttes féministes sont donc encore, à l’heure actuelle, largement justifiées.
Yvan Dupuy