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Crédits: pixabay

Chères lectrices, chers lecteurs,

Si le e-commerce à le vent en poupe via les pc normaux, ou via le m-commerce (commerce mobile), il s’avère que la grosse part du marché soit tenu par des ténors, les autres ramassant les miettes. C’est ce que révèle la dernière étude par la société Benchmark Group.

Les retours de l’étude Benchmark Group

Le panel de l’étude est plutôt intéressant, puisqu’elle a été réalisée auprès de 52 responsables de sites de ecommerce.

Selon l’analyse des résultats, quatre entreprises sur dix n’auraient pas encore leur seuil de rentabilité. Il semble donc que l’atteinte de ce seuil soit l’un des principaux objectifs 2011 pour ces sociétés de commerce en ligne.

Les responsables interrogés ont avoué que leur taux de transformation plafonnait à 1,9% (Source Fevad). Je trouve pourtant ce taux relativement intéressant pour du e-commerce direct, mais on reste encore loin , je pense des taux que l’on peut atteindre via communication en emailing, a des gens inscrits aux newsletters.

La plupart des responsables interrogés affirment acquérir du trafic via des solutions payantes (ex: google adwords, ou le nouveau Facebook ads).

Le comportement des cyberacheteurs en cause ?

Le comportement des cyberacheteurs expliquerait-il en partie ce manque de rentabilité ?

Toujours selon l’étude médiamétrie, comme tout client traditionnel, les critères décisionnels en terme d’achats seraient le prix, le délai, et la qualité du produit.

Donc un client satisfait reviendra, et un client non satisfait ira voir ailleurs! Le souci est que sur internet , tout va très vite, et la e réputation d’une société peut rapidement être remise en question, en quelques semaines (jours ?) seulement…

La publicité en ligne en appui, plus que jamais pour 2011

Si 2010 avait déjà marqué un essor de la publicité en ligne, 2011 restera dans cette lignée, et même plus. Devant le nombre de sites de e-commerce, il devient difficile de trouver un créneau qui ne soit pas saturé. La visibilité étant essentiel,il devient vital d’acheter du trafic, ou de faire appel à des agences web ou de référencement, surtout au lancement de la brand.

Créer un peu de buzz autour de son site de ecommerce serait-il donc une clé de la réussite ? et vous, quel est votre avis ?

Bien à vous,

Yvan Dupuy