Chères lectrices, chers lecteurs,
Sous les décisions de Mark Zuckerberg, le responsable de Messenger prône un retour aux fondamentaux pour cette fonctionnalité devenu trop “encombrée” par les différents développements.
Une course aux fonctionnalités perdante ?
L’ancien président de Paypal, David Marcus, supervise la fonctionnalité depuis 2014. Dans sa feuille de route, il évoque une course aux fonctionnalités entrainant un service “encombré”.
Il aurait un commentaie de la part d’un utilisateur lui déclarant: « Oui, c’est un gros bordel. Regardez ce que fait l’équipe WhatsApp, c’est simple mais efficace ».
L’autre application a en effet évolué dans le giron de Facebook, qui s’en était emparé en 2014 pour plus de 20 milliards de dollars.
Certaines fonctionnalités n’ont pas trouvé leur public
Si rien n’est clairement explicité sur la simplification qui se prépare, il assure que certaines fonctionnalités n’ont pas trouvé leur public.
Récemment, plusieurs simplifications ont été mises en place, comme la fusion de Messenger Day et Facebook Stories, qui permettaient, respectivement sur l’app de messagerie et le réseau social, de raconter sa journée sous forme de « fil rouge », sur le même principe que Snapchat Stories.
Les suggestions “M” permettant de recommander aux utilisateurs certaines fonctions restent d’actualité selon le réseau social,plus de 100 millions de personnes s’en étant servies au mois de novembre dans les 10 pays couverts, selon David Marcus.
Selon Techcrunch, et à la lecture de la roadmap, une intégration de messenger dans le dispositif “Safety Check”permettra une activation en cas de situtation d’urgence (attentats, catastrophes naturelles…).
Attendons nous donc à voir un messenger convivial mais plus simple.
Yvan Dupuy