imrgChères lectrices, chers lecteurs,

Sur un fond de crise économique mondial, le spécialise du média marketing Imrg vient de rendre son rapport d’études concernant les prévisions du e-commerce mondial (b toc) pour l’année 2012 à 2013. Des prévisions plutôt encourageantes…

Un bilan déjà brillant

Imrg dévoile dans son rapport le bilan déjà brillant pour l’année 2011-2012. Au niveau mondial, le chiffre d’affaires s’élève à plus de 611 milliards de dollars, avec une hausse de plus de 20% sur un an. Parmi les pays à succès, on retrouve sans grande surprise les États-Unis, mais aussi le Royaume Uni et le Japon. Le nombre d’internautes croissant, ainsi qu’une plus grande confiance des acheteurs en ligne vis à vis des sites web rentrent dans les principaux facteurs pouvant expliquer cette hausse.

Un classement qui pourrait changer

Si les États-Unis sont en tête du classement depuis quelques années, Imrg dévoile que ce classement pourrait quelque peu être bouleversé. Encore en retard par rapport aux marchés anglophones, les pays européens pourraient, dans les prochaines années à venir, prendre la tête en terme de croissance.

Bien évidemment, Imrg cite en priorité la France, l’Italie, l’Espagne, la Russie, mais aussi la Turquie ou la Pologne. Viennent ensuite les pays de l’Amérique Latine,mais aussi du Moyen-Orient (Israël, Emirats Arabes Unis).

La fevad confirme le bon moral des e-commercants

Dans l’un des derniers édito de la FEVAD ( Fédération de la vente à distance), mené en collaboration avec le LSA, celui-ci insiste sur le fait que le moral des e-commercants reste bon.

Malgré un contexte plutôt difficile, les e-commercants semblent en effet bénéficier d’un moral au dessus du lot, et restent confiant dans leur activité. Plus de 60% des e-commercants interrogés restent positifs quant à l’avenir de leur business. Ces derniers n’hésitent d’ailleurs pas à investir dans les publicités online. Autre signe positif,  plus de la moitié d’entre eux ont l’intention d’embaucher sur la période 2012-2013.

Seule ombre au tableau, la plupart d’entre eux reconnaissent avoir à faire une concurrence de plus en plus en forte, ce qui les obligent à mettre en œuvre des stratégies toujours plus poussées pour pouvoir séduire et se démarquer. (vous pourrez retrouver l’intégralité de l’édito sur ce lien)

Je vous invite à en faire de même…

Amicalement,

Yvan Dupuy