Chères lectrices, chers lecteurs,
Afin d’accompagner les mutations dans le domaine économique au niveau de la e-santé, le nouvel organisme de l’état « Pipame » rend son étude ayant pour titre : « faire émerger l’offre française en répondant aux besoins présents et futurs des acteurs de santé ».
L’E-Santé est une opportunité pour le patient
Le domaine de l’e-santé est, selon le rapport, une opportunité pour le patient de pouvoir prendre connaissance des dernières technologies natives en fonction de ses besoins, ou de ses pathologies. Ainsi, l’E-Santé permet d’une manière générale de :
-Renforcer la prévention et favoriser la médecine prédictive
-Développer le « bien-vivre»
-Soigner
-Accompagner et favoriser l’autonomie et l’insertion sociale des citoyens/patients/ par le partage d’informations et de l’optimisation des connaissances.
-Informer Les citoyens/patients
Ainsi récemment, des personnes souffrant de problèmes urologiques ont pu par exemple prendre connaissance de la sortie d’une bandelette urinaire révolutionnaire permettant de détecter tout type d’infection ou, pour les professionnels du terrain, de la sortie d’un brancard dernier cri, leur facilitant le quotidien.
Développer l’E-Santé à tout prix
Pour le Pipame, malgré les nouveaux acteurs naissant sur le marché, l’offre doit encore être développée. Ainsi, des démarches dîtes convergentes doivent être mises en place entre l’état et les différents acteurs économiques du secteur. Il est en effet indispensable de pouvoir démocratiser d’une manière maximale cette nouvelle offre, qui atteint encore pour l’instant une population trop étroite particulièrement familière avec les nouvelles technologies.
Des démarches ont déjà été initiées, avec par exemple, la ville de Paris qui a mis en place un incubateur d’entreprises dans le domaine de l’e-santé depuis janvier 2014 avec une stratégie claire : permettre à des start-up françaises en e-santé d’atteindre la maturité nécessaire pour constituer une filière industrielle créatrice de croissance et capable de tenir tête à la concurrence étrangère.
Source Complète
Yvan Dupuy