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Crédits: Pixabay

Chères lectrices, chers lecteurs,

Spécialisé dans l’analyse des marchés internet, le cabinet Strategy Analytics vient de publier une étude dévoilant la tendance du marché de l’e-pub pour cette année 2012. Dans un contexte concurrentiel accru, et où il est indispensable de se faire connaître, la tendance du marché de l’e-pub sera très positive pour cette année 2012.

12,8% de croissance annoncée sur ce segment

12,8% est la croissance du marché de la publicité online annoncée au niveau mondial. Pour le marché français, les chiffres affichent une croissance très honorable. En effet,au niveau national, la croissance pour l’année 2011 s’était élevée à 3,8%, et elle devrait atteindre 4,9% en 2012.

Parmi les principaux facteurs expliquant cette croissance soutenue, de nombreux évènements médiatiques viennent contribuer. Citons bien sûr les élections présidentielles, les jeux olympiques de Londres, ou bien encore la coupe d’Europe de Football. En conséquent, les parts de marché de la publicité entre guillemet “classique” perdent quelque peu du terrain, comme la radio, la télévision, et bien sûr la presse papier.

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La répartition de la croissance publicitaire en 2012 (@strategy analytics)

Le cas des réseaux sociaux

La publicité online s’effectue principalement via les canaux suivant: achat de mots-clés (référencement payant), location de bannières publicitaires, rédaction de communiqués de presse par des spécialistes sont parmi les exemples les plus classiques, pour ce qui concerne les requêtes sur les moteurs de recherche, et la visibilité.

Le cas des réseaux sociaux comme Facebook est un segment explosif pour l’e-pub. Sur le T4 2011, le budget des dépenses publicitaires sur le réseau Facebook Ads a, à lui seul, augmenté de 109%. En terme de performance, les taux de clics sur le réseau Facebook ont quant à eux augmentés de 105%. Cet indicateur démontre donc que les utilisateurs des réseaux sociaux sont sensibles à l’environnement publicitaire des réseaux sociaux.

Peut-on réellement penser que la publicité sur les réseaux sociaux supplantera les liens sponsorisés “classiques” ? Je pense que les régies publicitaires ou les marketers indépendant continueront à utiliser ces deux canaux en parallèle. Cependant, le facteur taux de clics et conversion, demeurera fondamental dans la répartition de leur budget publicitaire.

Si l’action Facebook sera introduite en bourse de Paris, on peut penser qu’investir dans de telles actions serait donc très rentable…

Amicalement,

Yvan Dupuy