glowbl

Chères lectrices, chers lecteurs,

Créee en 2011 à Lyon, Glowbl se positionne dans le domaine de la visioconférence. Elle souhaite se différencier de Google et Cisco, en proposant une approche plus humaniste.

La visio à “visage humain”

En 2013 déjà , Glowbl avait levé près de 700 000 euros, auprès d’investisseurs privés. Elle doit en partie son succès à Arnaud monteboug, qui avait préférée Glowbl à Google Hangouts lors du Concours mondial d’innovation en décembre 2013. Un service qui a même été utilisé par Bill Clinton, ainsi que le fondateur de Wikileaks.

Le concept Glowbl, c’est un streaming vidéo, dont les commentaires ont été remplacés par des bulles de visioconférence. Pour le coté humain, Glowbl ne permet, comme dans la vraie vie, que de parler qu’avec les personnes proches de soi, c’est à dire avec des bulles qui jouxtent les siennes.

Contrairement à à Hangouts ou Webex, Glowbl ne limite pas le nombre de participants. Seules les grosses sessions sont facturées, alors que les petites restent gratuites. Selon Glowbl l’outil sert« pour les événements d’entreprise, les salons, les démonstrations, les ateliers, les réunions de travail et tout autre type de rassemblement ».

L’objectif de Glowbl est maintenant de s’implanter à San Fransisco.

Yvan Dupuy